Bonjour,
D’une part, vous êtes de l’ancienne génération. Les psy d’aujourd’hui fonctionnent différemment par rapport à la prescription et par rapport à avant. Aujourd’hui, les psy y vont plus à « tâtons ».
D’autres part, tous les patients ne sont pas « abrutis » par les médicaments et une partie sont en rémission AVEC traitement médicamenteux. Cet article vise cette cible, les patients plus ou moins en rémission, mais aussi ceux qui sont encore dans « l’entre deux », car ils ont encore cette capacité de faire des exercices cognitifs.
Pour votre cas, il est avéré qu’un certain pourcentage de personne schizophrènes, qui atteignent un certain âge avancé, puisse atteindre une certaine amélioration, voir « rémission complète », rémission qui n’est en réalité jamais complète puisqu’il existera toujours une certaine « faiblesse psychique » chez un patient ou ancien patient schizophrène.
« Ne pas avoir les idées ralentis », ne signifie pas être « en bonne santé ». Tout un tas d’autres problèmes psychique peuvent exister, et qui permettent quand même de pratiquer ces exerces afin d’empêcher une rechute.
De plus, vous généralisé votre cas, or, chaque cas est différent. Un bon nombre de personnes schizophrènes sous traitement n’ont pas les « idées ralenties » comme vous le dites.
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Bonjour,
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D’autres part, tous les patients ne sont pas « abrutis » par les médicaments et une partie sont en rémission AVEC traitement médicamenteux. Cet article vise cette cible, les patients plus ou moins en rémission, mais aussi ceux qui sont encore dans « l’entre deux », car ils ont encore cette capacité de faire des exercices cognitifs.
Pour votre cas, il est avéré qu’un certain pourcentage de personne schizophrènes, qui atteignent un certain âge avancé, puisse atteindre une certaine amélioration, voir « rémission complète », rémission qui n’est en réalité jamais complète puisqu’il existera toujours une certaine « faiblesse psychique » chez un patient ou ancien patient schizophrène.
« Ne pas avoir les idées ralentis », ne signifie pas être « en bonne santé ». Tout un tas d’autres problèmes psychique peuvent exister, et qui permettent quand même de pratiquer ces exerces afin d’empêcher une rechute.
De plus, vous généralisé votre cas, or, chaque cas est différent. Un bon nombre de personnes schizophrènes sous traitement n’ont pas les « idées ralenties » comme vous le dites.