Bonjour Mme Boulange,
tout arrêt de neuroleptique doit se faire TRES progressivement, sans quoi l’effet de rebond de sevrage est quasi certain, c’est-à-dire avec une manifestation de symptômes psychotiques, dû à l’effet soudain du sevrage. Il faut donc diminuer par palier et très progressivement sur la durée. De plus, cela doit se faire avec l’accord du psychiatre.
Je conçois votre point de vue sur la psychiatrie et j’y adhère globalement. Toutefois, les "bons" psychiatres, ceux plutôt ouvert d’esprit peuvent être un bon appuie et accompagnement dans le sevrage.
Si vous avez des inquiétudes par rapport au traitement neuroleptique et notamment par rapport à "un risque de mort", il faut en parler à un psychiatre en qui vous avez confiance. Si vous n’avez pas confiance en votre actuel psychiatre, il faut en trouver un en qui vous aurez confiance et avec qui vous pourrez parler.
Il est aussi vivement conseillé de suivre une psychothérapie d’orientation systémique dans un premier temps, et si possible une thérapie cognitive et comportementale avec une psychologue (et non un psychiatre, qui n’ont pas la formation pour).
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Bonjour Mme Boulange,
tout arrêt de neuroleptique doit se faire TRES progressivement, sans quoi l’effet de rebond de sevrage est quasi certain, c’est-à-dire avec une manifestation de symptômes psychotiques, dû à l’effet soudain du sevrage. Il faut donc diminuer par palier et très progressivement sur la durée. De plus, cela doit se faire avec l’accord du psychiatre.
Je conçois votre point de vue sur la psychiatrie et j’y adhère globalement. Toutefois, les "bons" psychiatres, ceux plutôt ouvert d’esprit peuvent être un bon appuie et accompagnement dans le sevrage.
Si vous avez des inquiétudes par rapport au traitement neuroleptique et notamment par rapport à "un risque de mort", il faut en parler à un psychiatre en qui vous avez confiance. Si vous n’avez pas confiance en votre actuel psychiatre, il faut en trouver un en qui vous aurez confiance et avec qui vous pourrez parler.
Il est aussi vivement conseillé de suivre une psychothérapie d’orientation systémique dans un premier temps, et si possible une thérapie cognitive et comportementale avec une psychologue (et non un psychiatre, qui n’ont pas la formation pour).
Courage à vous,
Véronique R.