Bonjour Monsieur "Père perdu",
il est indispensable de dialoguer avec votre fils sur ses symptômes et sur le fait qu’avec ses symptômes, il vit, comme disent les psychiatres, "en dehors de la réalité de tout un chacun".
Les neuroleptiques peuvent aider à calmer l’activité de son psychisme, mais les neuroleptiques ne le guériront pas et apporteront leurs lots d’effets secondaires souvent problématiques. Il est très important que votre fils puisse commencer une psychothérapie, d’orientation systémique (de l’école de Palo Alto) d’une part, et thérapie cognitive et comportementale d’autre part et pour cela, choisissez un-e psychologue et non un-e psychiatre. Il est aussi important que votre fils puisse se confier et avoir confiance sur la durée à un-e psychologue (en dehors de l’hospitalisation).
Essayer de le faire transférer dans une clinique avec un espace vert et des activités, plutôt qu’il reste dans un hôpital où il n’y a rien à faire de la journée et où on se sent plutôt comme dans une prison.
Aussi, essayer d’instaurer un dialogue de confiance avec votre fils, et d’honnêteté l’un envers l’autre.
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Bonjour Monsieur "Père perdu",
il est indispensable de dialoguer avec votre fils sur ses symptômes et sur le fait qu’avec ses symptômes, il vit, comme disent les psychiatres, "en dehors de la réalité de tout un chacun".
Les neuroleptiques peuvent aider à calmer l’activité de son psychisme, mais les neuroleptiques ne le guériront pas et apporteront leurs lots d’effets secondaires souvent problématiques. Il est très important que votre fils puisse commencer une psychothérapie, d’orientation systémique (de l’école de Palo Alto) d’une part, et thérapie cognitive et comportementale d’autre part et pour cela, choisissez un-e psychologue et non un-e psychiatre. Il est aussi important que votre fils puisse se confier et avoir confiance sur la durée à un-e psychologue (en dehors de l’hospitalisation).
Essayer de le faire transférer dans une clinique avec un espace vert et des activités, plutôt qu’il reste dans un hôpital où il n’y a rien à faire de la journée et où on se sent plutôt comme dans une prison.
Aussi, essayer d’instaurer un dialogue de confiance avec votre fils, et d’honnêteté l’un envers l’autre.
Je vous souhaite du courage.
Véronique R.